Aujourd’hui
tout était prêt pour partir à Cayos Cochinos. Mon père c’était lever à 6 heures
pour préparer les affaires parce que Tony devait s’en allé à 6 heures pour
mettre les choses dans le bateau mais il ne partait pas avec nos affaires sans
nous. Je m’étais levé avec une nouvelle otite de piscine. Et je peux vous le
dire, c’eut qui n’en ont jamais eu, ces vraiment pas cool. On n’était même pas
sortie de Mango Tree Villas que j’ai trouvé un canif suisse. Le canif suisse
contenait une scie, un tire-bouchon, un tournevis étoile, un couteau, une lampe
de poche qui ne marchait plus et une pince.
On devait
passer deux jours à Cayos Cochinos. Dans le bateau j’avais très mal au cœur.
Mais il y avait tellement de vagues qui revolaient sur tout le monde que mon
mal de cœur est partie. En fait c’était plus un mal de mer qu’un mal de cœur.
On est allé chercher des gens du Palma Real, ils étaient quatre. Puis on est
allé sur une autre île ou on devait signer au cas où ils ne nous retrouveraient
pas et enfin on est allé sur une autre île ou on devait rester une nuit et un
jour et demie.
Quand Tony a des clients il prête des palmes, un masque et un
tuba à chaque personne. Alors quand on est arrivé Tony nous en a prêter trois
ensemble un pour Marine, un pour mon père et un pour moi. Tony voulait en
prêter un à ma mère mais elle avait déjà fait de la plongée en apnée alors elle
avait déjà un ensemble de masque-tuba et une paire de palmes. En arrivant sur l’île
où l’on devait dormir on a découvert que le sable était d’un blanc très clair
et fins. Mes parents sont allés voir quelle cabine on allait prendre. Ils y en
avaient décidé une quand une autre les a plus intéressés. Moi peu importe je
dors où tant que je suis bien s’est correct!!! Tony avait prêté une glacière à
mon père. Il avait mis toutes les choses
froides dans la glacière et l’avait donné à Tony pour qui l’emmène dans son
bateau.
Mercredi le
22 février 2012
Après le déjeuner on est allé sur le quai. Ma mère et moi
on est allé faire de la plongée en apnée. On a vu plein de beaux poissons. Des
gros, des petits, des colorés, des gros pas colorés et plein d’autre poissons. Quand
moi et ma mère on est sortie on a dit à Colin, Romane, mon père et Marine «on
s’est très bien amusé!». On avait amené des bulles pour donner aux enfants
pauvres. Mais sur notre île il n’y avait pas d’enfants. Mais il y avait une île
juste à côté de notre île qui était traversable à pied. Il fallait juste être
capable d’accepter d’avoir de l’eau jusqu’au genou. On était allé voir l’île et
on a vu qu’il y avait des enfants. Alors on a donné les bulles aux enfants
qu’il y avait. On avait décidé de partir quand un bateau est arrivé avec plein
d’enfants. On a donné le reste de nos bulles aux enfants qui sont arrivés. On
s’est aperçue qu’il y avait une petite fille qu’y pleurait parce qu’on ne lui
avait pas donné de bulles parce qu’il y en avait plus. Alors on a conté tous
les enfants et ma mère a dit que quand on reviendrait avec nos amis on en
apporterait douze ou treize parce qu’il y avait douze enfants.
Après on est
retournée sur notre île. Ma mère et moi on est retournée en plongée en apnée.
Ma mère a fait tout le chemin mais moi je n’avais pas pris les bonnes palmes
alors il y avait des roches qui rentrais au trois secondes. A un moment, j’en
avais assez de sortir de l’eau, enlever mes palmes, enlever les roches dans mes
palmes et remettre mes palmes. On est rentré dans la cuisine d’Alexandra. Elle
était en train de nous attendre pour qu’on prenne nos assiettes et qu’on aille
manger sur le quai. Elle avait préparé des crevettes pannées avec du riz et du
yucca. Les crevettes panées étaient délicieuse. Moi, quand j’ai gouté au yucca
je n’ai pas aimé ça. En revenant dans le bateau à Tony j’avais très mal au cœur
et là ce ne sont pas les grosses vagues qui me l’on fait perdre. Mais la pire
c’est qu’on allongé notre voyage en bateau car on est allé porter les gens du
Palma Real en premier. En arrivant sur la plage, je me croyais mort.
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