mardi 20 mars 2012

Cayos Cochinos

Mardi le 21 février 2012

Aujourd’hui tout était prêt pour partir à Cayos Cochinos. Mon père c’était lever à 6 heures pour préparer les affaires parce que Tony devait s’en allé à 6 heures pour mettre les choses dans le bateau mais il ne partait pas avec nos affaires sans nous. Je m’étais levé avec une nouvelle otite de piscine. Et je peux vous le dire, c’eut qui n’en ont jamais eu, ces vraiment pas cool. On n’était même pas sortie de Mango Tree Villas que j’ai trouvé un canif suisse. Le canif suisse contenait une scie, un tire-bouchon, un tournevis étoile, un couteau, une lampe de poche qui ne marchait plus et une pince.
On devait passer deux jours à Cayos Cochinos. Dans le bateau j’avais très mal au cœur. Mais il y avait tellement de vagues qui revolaient sur tout le monde que mon mal de cœur est partie. En fait c’était plus un mal de mer qu’un mal de cœur. On est allé chercher des gens du Palma Real, ils étaient quatre. Puis on est allé sur une autre île ou on devait signer au cas où ils ne nous retrouveraient pas et enfin on est allé sur une autre île ou on devait rester une nuit et un jour et demie. 

Quand Tony a des clients il prête des palmes, un masque et un tuba à chaque personne. Alors quand on est arrivé Tony nous en a prêter trois ensemble un pour Marine, un pour mon père et un pour moi. Tony voulait en prêter un à ma mère mais elle avait déjà fait de la plongée en apnée alors elle avait déjà un ensemble de masque-tuba et une paire de palmes. En arrivant sur l’île où l’on devait dormir on a découvert que le sable était d’un blanc très clair et fins. Mes parents sont allés voir quelle cabine on allait prendre. Ils y en avaient décidé une quand une autre les a plus intéressés. Moi peu importe je dors où tant que je suis bien s’est correct!!! Tony avait prêté une glacière à mon père.  Il avait mis toutes les choses froides dans la glacière et l’avait donné à Tony pour qui l’emmène dans son bateau. 

En arrivant sur l’île Tony avait donné la glacière à la cuisinière. C’était la cuisinière qui faisait la nourriture. On est arrivé en fin d’avant-midi. La cuisinière nous a fait des baleadas. Des baleadas c’est des tortillas avec des œufs et de la purée de bine rouge écraser. Après le diner, on a fait de la plongée en apnée. Voici le matériel que sa prend pour faire de la plongée en apnée : un masque, un tuba, une paire de palme (si l’on en veut une) et un maillot. La plongée en apnée consiste à rester à la surface de l’eau et regarder des poissons magnifiques. Le soir on a vu le coucher de soleil le plus beau du monde (en ce moment). Le soir ont à manger du poulet frit avec le meilleur rice and bine (riz et bine rouge (non écraser)). Et on a mangé, pour dessert, du melon d’eau. A six heures, le monsieur qui s’occupait de nous a parti une génératrice pour faire de l’électricité. Sa génératrice prenait du gaz. Le gaz coutait 800 lempiras par jour (26, 61 $ par jour et tous les jours). C’est très cher. Heureusement ce n’était pas nous qui payait l’électricité.

Mercredi le 22 février 2012                                        
Voilà la deuxième journée qu’on est  sur Cayos Cochinos!!! Mais Cayos Cochinos c’est le nom de l’archipel parce que Cayos Cochinos s’est plein de grandes ou petites îles. Notre île s’appelle Cachaguate 2. Au levée du soleil, j’étais déjà réveiller mais pas sortie de mon lit parce que moi j’adore dormir. Dix quinze minutes plus tard quand mon frère, Colin, s’est réveillé, c’était l’enfer. Mon frère a commencé faire un tas de niaiseries. Je mis suis mis moi aussi. Je ne s’ais pas pourquoi mais c’était très cool. Quand on a eu fini d’écœurer les parents on est sortie dehors. En fait ce sont les parents qui en ont eu assez de nous entendre ils nous ont sorti. Quand tout le monde est sorti on est allé voir la cuisinière. La cuisinière s’appelait Alexandra. Pour déjeuner on a mangé des petites crêpes. Les crêpes étaient très petites mais il en avait des milliards. Mon père avait amené du sirop. Le sirop ne goutait pas le sirop normal. Ce n’était pas du sirop d’érable mais le sirop était quand même. Les crêpes qu’Alexandra avait faits étaient très bonnes. 

 Après le déjeuner on est allé sur le quai. Ma mère et moi on est allé faire de la plongée en apnée. On a vu plein de beaux poissons. Des gros, des petits, des colorés, des gros pas colorés et plein d’autre poissons. Quand moi et ma mère on est sortie on a dit à Colin, Romane, mon père et Marine «on s’est très bien amusé!». On avait amené des bulles pour donner aux enfants pauvres. Mais sur notre île il n’y avait pas d’enfants. Mais il y avait une île juste à côté de notre île qui était traversable à pied. Il fallait juste être capable d’accepter d’avoir de l’eau jusqu’au genou. On était allé voir l’île et on a vu qu’il y avait des enfants. Alors on a donné les bulles aux enfants qu’il y avait. On avait décidé de partir quand un bateau est arrivé avec plein d’enfants. On a donné le reste de nos bulles aux enfants qui sont arrivés. On s’est aperçue qu’il y avait une petite fille qu’y pleurait parce qu’on ne lui avait pas donné de bulles parce qu’il y en avait plus. Alors on a conté tous les enfants et ma mère a dit que quand on reviendrait avec nos amis on en apporterait douze ou treize parce qu’il y avait douze enfants. 
Après on est retournée sur notre île. Ma mère et moi on est retournée en plongée en apnée. Ma mère a fait tout le chemin mais moi je n’avais pas pris les bonnes palmes alors il y avait des roches qui rentrais au trois secondes. A un moment, j’en avais assez de sortir de l’eau, enlever mes palmes, enlever les roches dans mes palmes et remettre mes palmes. On est rentré dans la cuisine d’Alexandra. Elle était en train de nous attendre pour qu’on prenne nos assiettes et qu’on aille manger sur le quai. Elle avait préparé des crevettes pannées avec du riz et du yucca. Les crevettes panées étaient délicieuse. Moi, quand j’ai gouté au yucca je n’ai pas aimé ça. En revenant dans le bateau à Tony j’avais très mal au cœur et là ce ne sont pas les grosses vagues qui me l’on fait perdre. Mais la pire c’est qu’on allongé notre voyage en bateau car on est allé porter les gens du Palma Real en premier. En arrivant sur la plage, je me croyais mort.

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