Aujourd’hui on est allez à la Ceiba. Voici des photos de pompier. Ils sont jaunes et quelques-uns sont rouges. Ils sont très drôles!!! On s’est beaucoup promené. Mes parents ont acheté des vélos. Un pour Marine, un pour Colin, un pour Romane et un pour moi.
Les quatre vélos ont couté 2,650 Lempiras (l’argents hondurien) et selon mes calculs en argents canadiens ça ferait 123,05 dollars. J’ai fait les calculs avec l’aide de ma mère. À La Ceiba il y a des kiosques et derrière les kiosques il y a d’autres kiosques et une immense boucherie. On a acheté un hamac dont les couleurs sont gris, blanc, bleu, rose, bleu foncé et blanc-gris avec deux mousquetons et de la corde blanche.
Un électricien du Canada pourrait devenir fou ici parce que les fils électriques sont tellement mêlé. Vous n’en croirez pas vos yeux sur la photo que j’ai pris.
Allo Jules!
RépondreSupprimerJ'adore tes photos! Surtout celle des fils électriques -- c'est vraiment spectaculaire! Sommes contentes que tu te serves de ton appareil photo comme ça!
Merci pour ton blogue -- c'est très très chouette d'avoir de tes nouvelles de cette façon!
Nous pensons très souvent à toi et à Marine, Colin, Romane et les parents et vous espérons heureux et contents! Hablamos contigo pronto, esperamos!
gros bisous ti-lou, xoxo
Allo mon beau Jules,
RépondreSupprimerComme c'est drôle la photo des fils électriques. Tu prends de belles photos et tu composes bien. Je te trouve bien chanceux de même que ton frère et tes 2 sœurs de pouvoir faire du vélo au Honduras. Prends des photos de vous en vélo...
Gros bisous.
Bonjour Jules.
RépondreSupprimerJ'espère que tu t'amuses bien.
J'aime ta dernière photo!
On a hate de te revoir.
À bientot.
Super Jul-O....patate
RépondreSupprimerTes photos sont très belles et la description de ta vie avec la smala est intéressante et amusante.
J'aime beaucoup te lire.
Gros bisous
PÔ
13/02/2012
RépondreSupprimerJules, tu es un super photographe et un intéressant petit journaliste. J'aime visiter ton site régulièrement, merci de partager avec nous votre quotidien, vos expériences de vie au Honduras et aussi vos découvertes; je sais que tu travailles beaucoup. À bientôt, grosses bises Marcellyne qui t'aime fort.
et Hilaire
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